« Et toujours, dès que je me montrais prête à les affronter, les épreuves se sont changées en beauté.» page 199
« Le ciel existe, pourquoi n’y vivrait-ont pas ? Mais en fait c’est plutôt l’inverse, c’est le ciel qui vit en moi. » page 201
« Je voudrais pouvoir trouver le mot unique qui me permette de tout dire, tout ce qui est en moi, ce trop-plein, cette opulence du sentiment de la vie. » page 201
« Le cœur pensant de la baraque. » page 202
« Tu m’as appris à prononcer sans honte le nom de Dieu. » page 202
« Tu as dit aussi, comme j’entrais dans la pièce : « la jeune voyageuse ». page 203
« je voudrais être la baraque-refuge de la meilleure part de vous-même » page 205
« Je n’ai pas tant à agir, je veux seulement être là. » page 205
« Je continuerai à vivre avec cette part du mort qui a vie éternelle et je ramènerai à la vie ce qui, chez les vivants, est déjà mort » page 206
« Et ce « moi-même », cette couche la plus profonde et la plus riche en moi où je me recueille, je l’appelle « Dieu ». page 207
« ce qu’il y a de plus essentiel est de plus profond en moi écoute l’essence et la profondeur de l’autre. Dieu écoute Dieu. » page 208