Avec Etty Hillesum – jour 15… (page 177 à 187)

« Chacun est bien forcé de vivre selon le style qui est le sien. » page 177

 

« chaque mot pâlirait et se périmerait instantanément sous mes mains et appellerait un mot suivant qui serait pourtant encore bien loin de naître. » page 178

 

« Le sens historique peut aussi vous aider à subir. » page 178

 

« Il faut savoir vivre sans livres, sans rien. » page 179

 

« Un moment, le désespoir avait étouffé toute lumière en moi, effacé toute cohérence, et il y avait cet immense chagrin. » page 180

 

« Si un jour je me sens écrasée et hébétée, je devrai pourtant retrouver, dans le coin le plus perdu de mon âme, la certitude de me relever. » page 181

 

« Je suis un chemin et me sens guidée au long de ce chemin. » page 181

 

« Du reste il me faudra trouver un langage entièrement nouveau pour parler de tout ce qui émeut mon cœur depuis quelques jours. » page 184

 

« Je n’oserais me confier aussi ouvertement à personne. » page 185

 

« J’ai souvent l’impression de pouvoir embrasser du regard toute notre époque, comme une phase de l’Histoire dont je discernerais les tenants et aboutissants et que je saurais insérer dans le tout. » page 187

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