« Nous sommes passés devant des seringas, de petites roses et des sentinelles allemandes » page 116
« un jour je serai écrivain » page 116
« Alors tout jaillira de moi, s’écoulera de moi en un flux ininterrompu et sans fin, tout cela qu’aujourd’hui j’emmagasine en moi » page 116
« la vie demeure un flux continu, ininterrompu » page 117
« j’essaie toujours de retrouver la trace de l’homme dans sa nudité, sa fragilité, de cet homme bien souvent introuvable » page 117
« tout être humain a sa réalité propre» page 118
« il y a place pour de beaux rêves à côté de la plus cruelle réalité » page 118
« j’avais l’impression de reposer contre la poitrine nue de la vie » page 119
« j’étais étendue entre les bras nus de la vie et j’y étais en sécurité, à couvert. Et je pensais : comme c’est étrange ! C’est la guerre. Il y a des camps de concentration » page 119