Avec Etty Hillesum – jour 10… (page 116 à 127)

« Nous sommes passés devant des seringas, de petites roses et des sentinelles allemandes » page 116

 

« un jour je serai écrivain » page 116

 

« Alors tout jaillira de moi, s’écoulera de moi en un flux ininterrompu et sans fin, tout cela qu’aujourd’hui j’emmagasine en moi » page 116

 

« la vie demeure un flux continu, ininterrompu » page 117

 

« j’essaie toujours de retrouver la trace de l’homme dans sa nudité, sa fragilité, de cet homme bien souvent introuvable » page 117

 

« tout être humain a sa réalité propre» page 118

 

« il y a place pour de beaux rêves à côté de la plus cruelle réalité » page 118

 

« j’avais l’impression de reposer contre la poitrine nue de la vie » page 119

 

« j’étais étendue entre les bras nus de la vie et j’y étais en sécurité, à couvert. Et je pensais : comme c’est étrange ! C’est la guerre. Il y a des camps de concentration » page 119

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