« je suis de bonne compagnie pour moi-même » p. 53
« je veux connaître ce siècle, du dehors et du dedans. Je le palpe chaque jour, je suis du bout des doigts les contours de notre temps. Ou bien n’est-ce qu’une fiction ? » p. 56
« Seigneur, donne-moi la sagesse plutôt que le savoir. » p.58
« Voilà ta maladie : tu veux enfermer la vie dans tes formules personnelles. Tu veux que ton esprit embrasse tous les phénomènes de cette vie, au lieu de te laisser toi-même embrasser par la vie » p. 65