Avec Etty Hillesum – jour 8… (page 89 à 103)

« La mêlée a pris fin pour faire place à une sorte de douceur, même vis-à-vis de moi-même ; » page 90

 

« nos actes ne sont souvent qu’imitation, devoir supposé ou représentation erronée de ce que doit être un être humain » page 91

 

« Hier soir, juste avant de me coucher, je me suis retrouvée tout à coup agenouillée » page 91

 

« Comme cela, sans l’avoir voulu. » page 91

 

«  il y a quelque temps je me disais : « je m’exerce à m’agenouiller » page 91

 

« pour nous qui en faisons l’expérience pour la seconde fois, tout ce tintamarre est trop ridicule » page 92

 

« L’idée de me perdre en un autre être a disparu de ma vie, il n’en reste peut-être que le désir de me « donner » à Dieu, ou à un poème. » page 94

 

«  le cerveau de l’humanité, de toute l’humanité. Je pressens son existence comme celle d’un grand tout » page 94

 

«  il est des moments où l’on soupire après une délivrance, n’importe laquelle. » page 94

 

«  il prie tous les soirs » page 94

«  s’agenouille-t-il avant d’avoir enlevé son dentier, ou après ? » page 94

 

«  notre mission : donner à leurs pauvres talents errants, qui ne se sont jamais fixés ni délimités, la possibilité de croître, de mûrir et de trouver leur forme en nous. » page 95

 

«  les choses qu’il dit, même les plus simples, paraissent plus impressionnantes, plus importantes, je dirais presque plus « denses », que dans la bouche de n’importe qui d’autre. » page 100

 

«  tout simplement, chez lui, les choses coulent de sources plus profondes » page 100

 

«  il prie après avoir « déposé » ses dents. » page 102

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